Il y a quelques années, j’ai eu la chance d’écouter un conte qui m’a marqué. Voilà la raison pour laquelle nous, conteurs, nous prêtons nos oreilles : pour être provoqués par ces paroles de bouches anciennes, pour quêter ce passage où le temps semble s’arrêter, pour essayer aujourd’hui d’en dévoiler la charge émotive.
Le premier venu
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