Est-ce que Federico Garcia Lorca et Atahualpa Yupanqui ont quelque chose de commun ? Certes, les deux aimaient la musique, et avec la musique, la parole.
Mais bien plus que çà !
Hector et Pérez le savent fort bien (les deux protagonistes de ce « Romancero »), un musicien argentin et un marionnettiste français qui jouent tous les soirs sur une place publique de Buenos Aires dans les années 30. Les deux sont amis et bien différents.
Le marionnettiste défend avec passion l’idée de la modernité et du bouillonnement citadin, le musicien est ancré dans la mémoire populaire et dans la réflexion profonde qui naît du silence. Le marionnettiste aime, le musicien est aimé…
Le marionnettiste est air, le musicien est terre. Le marionnettiste aurait aimé être Garcia Lorca. Pourquoi pas ? Le musicien rêve secrètement qu’il sera Atahualpa Yupanqui. Pourquoi pas ?
Enroulant une dramaturgie autour de plusieurs langages scéniques (musique, marionnettes, poésie, théâtre, chant) l’auteur, Grassa Toro, nous propose une histoire qui questionne le monde.
Le Romancero de l’air et de la terre est une pièce dramatique pleine de jeux et de pensées… une défense de l’amitié, du courage et de l’humour comme réponse aux difficultés de la vie.
Présentation du « Romancero » en français (pdf 1.400 Ko)
Presentacion del « Romancero » en español (pdf – 1.400 Ko)